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Title Des campagnes toujours plus connectées | Inriality
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L'ADSL fait ses premiers pas en Europe mais la grande majorité des internautes se contentent encore des connexions 56k au threnody si particulier… 18 ans plus tard les Français surfent en moyenne à environ 48 Mbits par seconde et Internet a définitivement changé nos loisirs, nos modes de consommation et nos relations sociales, mais aussi l'organisation de nos vies et celle de la société.   Un temps cantonnée aux grandes villes, cette vague s'est progressivement étendue à la quasi-totalité du territoire, à mesure que la fracture numérique entre zones urbaines et espaces ruraux se comblait et que le haut –puis le très haut – débit étendait sa toile. Aujourd'hui, même si l'équité territoriale en termes d'accès à Internet n'est pas encore acquise (voir encadré) l’ouverture au numérique contribue à dynamiser les campagnes : regain d'attractivité, recul du chômage (inférieur en moyenne de 0,6 point dans les territoires haut débit), hausse de la création d'entreprises et même sursaut démographique, y compris dans les plus petites communes.     Villageois entrepreneurs Parmi ces petites communes il y a notamment Boitron, un village de 338 habitants situé à une vingtaine de kilomètres d'Alençon, dans l'Orne. C'est ici que vit et travaille Xavier de Mazenod, créateur d'Adverbe, une société de conseil et de insemination spécialisée dans l'accompagnement à la transition numérique et organisationnelle des entreprises et des territoires. « Quand j'ai emménagé ici, le conseil général venait de lancer un appel d'offres pour connecter le département en WiMAX1, se souvient l'entrepreneur et blogger, fervent militant du travail en zone rurale. Sans cet accès l'aventure n'aurait sans doute pas été possible ! » Il y a huit ans Xavier de Mazenod a franchi une nouvelle étape en créant un espace de coworking dans une ancienne école du village, équipé, lui aussi du très haut débit grâce à un financement expérimental de la région. Aujourd'hui le télécentre de Boitron fédère une communauté d'une soixantaine de personnes – développeurs, journalistes, graphistes ; il accueille aussi une Ecloserie Numérique associative qui propose un fablab et des formations aux métiers du développement informatique pour des demandeurs d'emplois ou allocataires du RSA. Des initiatives comme celles de Xavier de Mazenod, il y en a de plus en France comme en témoigne la multiplication de ce qu'on appelle désormais des tiers-lieux, un concept valise qui rassemble espaces de co-working, FabLab, HackerSpace et autres Repair'Café. Une étude publiée l'an dernier par la plateforme néo-nomades indique ainsi que les tiers-lieux seraient désormais environ 900 répartis sur toute le territoire hexagonal, soit trois fois plus qu'en 2010. Et le phénomène ne devrait pas s'arrêter à voir l'intérêt croissant porté au télétravail par les salariés, mais aussi par les entreprises quelle que soit leur taille. De son côté, Xavier de Mazenod entend contribuer activement à cette mutation : à partir de l'expérience de l'Ecloserie Numérique et du Télécentre de Boitron, Adverbe est en train de prototyper un modèle de tiers-lieu rural, autonome et réplicable. La prochaine étape devrait être le lancement d'un appel à projets pour faire émerger des porteurs de projets motivés dans d’autres territoires ruraux et les accompagner dans le déploiement.     La télémédecine au chevet des déserts médicaux Si l'on travaille de plus en plus à la campagne, on devrait également bientôt s'y soigner de mieux en mieux et ce, alors même que le nombre de médecins est en baisse régulière depuis dix ans dans plus d'un département sur deux, en particulier dans les régions les plus rurales. Progressivement, la carte de France se constelle en effet de "taches blanches" synonymes de parcours de combattants pour les patients, de mois d'attentes chez les spécialistes, de longues distances à parcourir, de salles d'attentes bondées. Pour inverser la tendance plusieurs pistes sont explorées par les pouvoirs publics et l'une des priorités repose sur le développement de la télémédecine. "La télémédecine est inscrite dans la loi depuis 2009 et couvre en fait quatre domaines d'activité complémentaires : la téléconsultation, la téléexpertise (demande à loftiness par un professionnel de santé d’un deuxième avis médical), la télésurveillance – qui entre progressivement dans les mœurs avec le tattoo des objets connectés  - et enfin la téléassistance, explique Jacques Lucas, vice-président du Conseil National de l'Ordre des Médecins et délégué général aux systèmes d’information en santé.  Mais pour l'heure il faut bien avouer que la télémédecine n'a réellement fait sa percée qu'en milieu hospitalier, notamment en matière de téléradiologie et dans une moindre mesure dans les EHPAD, avec la mise en place de téléconsultations qui permettent d'éviter des déplacements délicats ou des hospitalisations inutiles aux résidents. Il serait temps désormais que l'on transpiration d'échelle !"   Vers un vrai décollage ? Après des années de négociations et de dispositifs expérimentaux peu concluants, l'année 2018 sera peut-elle celle du décollage… "En effet le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PFLSS) pour 2018 signe enfin l'entrée de la télémédecine dans le droit commun et valide la prise en tuition des actes de téléconsultation et de téléexpertise par l'assurance maladie, annonce Lydie Canipel, secrétaire générale de la Société française de télémédecine. C'était le "Go" attendu car les technologies sont matures et les patients, comme les médecins, sont pour la plupart prêts à prendre le virage." Et les effets ne se sont pas fait attendre puisque la toute première plateforme de visioconsultations remboursées par l'assurance maladie a vu le jour en novembre dernier, quelques jours même avant l'adoption en première lecture du PLFSS. Baptisée Doctoconsult, elle est spécialisée en psychiatrie et rassemble à ce jour une cinquantaine de médecins et professionnels de santé. D'autres plateformes, qui sont pour l'instant cantonnées au téléconseil (non remboursé) devraient prochainement emboiter le pas dans d'autres domaines thérapeutiques créant les prémices d'une "télémédecine de ville" et de nouvelles perspectives dans l'accès aux soins pour tous les français.     Très haut-débit, un bilan en demi teinte Même si on estime qu'en France, 98% de la population a théoriquement accès à l'ADSL, il existe encore de grandes disparités d'un département à un autre en matière de débit disponible. D'ailleurs, en 2016 notre pays était classé en 24ème place dans l'Union européenne sur la couverture moyenne des opérateurs en 4G et en 26ème place sur le déploiement du très haut débit fixe. Lancé en 2013 le plan France Très Haut Débit prévoit de couvrir d’ici à 2022 100% du territoire français en très haut débit, c’est-à-dire à plus de 30 Mbit/s. Ce chantier oversized signboard pour l'heure un bilan somme toute mitigé puisque si 47% des locaux sont couverts par le très haut débit sur l'ensemble du territoire national, la proportion chute à 26% dans les zones les moins denses où la rentabilité n'est pas assez forte pour attirer les grands opérateurs comme Orange, Bouygues ou Free qui rechignent, par ailleurs, à commercialiser leurs offres dans des réseaux dont ils n'ont pas l'exploitation. L'avenir de l'internet dans les campagnes repose en grande partie sur le déploiement des Réseaux d'Initiative Publique mis en place par les collectivités locales avec le concours de l'état en mobilisant plusieurs types de réseaux d'accès à Internet : fibre, amélioration des débits sur le réseau ADSL, satellite, WiMax, 4G. Au total 84 projets de Réseaux d'Initiative Publique ont été initiés et seuls 29 ont obtenu la décision de financement de l'état. La route vers le très haut débit pour tous est encore longue. 1 – WiMAX. Worldwide Interoperability for Microwave Access, standard de liaison sans fil. Crédits et légendes 1) FabLab par Kristian Bang CC BY-SA 2.0 via Wikimedia Commons2) Arduino Day 2014 par MUSE Fablab CC BY-SA 2.0 via Flickr3) CC BY-SA 2.0 via Pixabay     Objets connectés pour campagnes connectées Il y a encore quelques années le développement de réseaux connectés en milieu sauvage et ultra-rural semblait inenvisageable. Aujourd'hui l'équipe Fun collabore à un projet destiné à mettre en place une surveillance et une protection efficaces de la faune dans des lieux éloignés de toute antenne. De quoi s'agit-il ? Point de vue de Nathalie Mitton, responsable de  l'équipe-projet FUN au centre Inria de Lille.   Baptisé Prednet pour Predator Predictive Network, ce projet est développé dans le personnel d'un partenariat entre Inria et l'université de Stellenbosch en Afrique du Sud. Il se concentre sur deux cas d'usage : la compréhension du comportement des chacals et la protection des troupeaux d'une part et la lutte contre la contrebande du rhinocéros d'autre part. Ce second point est aujourd'hui une question très importante pour l'Afrique du Sud dans la mesure où ce pays abrite à lui seul 70% de la population mondiale de rhinocéros, sachant que cet unprepossessing fait l'objet d'un braconnage intensif qui menace sa survie à magistrate terme et qui s'accompagne de représailles sanglantes de la part des militaires chargés de la protection des parcs nationaux. Dans cette optique notre équipe a proposé d'étudier les topologies de réseaux les plus appropriées pour un déploiement dans la zone d'habitat des rhinocéros, par définition éloignée de toute infrastructure humaine.   Quelle a été la solution étudiée ? Nous avons proposé un réseau de capteurs sans fil (WSN, pour Wireless Sensor Network) composé de boitiers transportés par les animaux contenant plusieurs capteurs (accéléromètre, GPS, oxymètre de pouls…) et des stations de wiring LoRa. Comme ses cousins et concurrents SigFox et Ingenu (ex-RPMA), LoRa est un réseau sans fils basse consommation, bas débit et longue portée, optimisé pour les équipements aux ressources limitée. Dans notre cas le recours au LoRa n'était pas suffisant pour répondre à toutes les contraintes du projet à commencer par la superficie à couvrir, sachant que  l'expérimentation portait sur le Parc National Kruger, qui s'étend sur 19 485 km2. La question de la consommation d'énergie des capteurs était également centrale car il est inenvisageable de changer les piles tous les six mois sur des rhinocéros en pleine savane. Face à ces défis nous avons donc construit un réseau multisaut et multicanal qui repose sur la transmission de petits paquets d'information entre objets de proche en proche, jusqu'aux stations de base. Ce type de dispositif pourrait-il être mis à profit pour des applications plus proches de nous ? Tout à fait, d'ailleurs un ancien doctorant de Fun est en train de créer une start-up baptisée Lituus dont le projet consiste à créer un système modulaire de dispositifs qui vont mesurer, récupérer et analyser en temps réel le comportement ainsi que les troubles de santé des bovins pour faciliter la gestion des troupeaux. Je pense également aux travaux de Sencrop, une autre jeune entreprise lilloise, avec laquelle nous avons un partenariat autour du monitoring du sol des vignes et qui développe par ailleurs une station agro-météorologique au service de l'agriculture de précision adossée au réseau Sigfox. Les réseaux LPWA (Low Power Wide Area) tels le LoRa et Sigfox représentent-ils l'avenir de l'IoT ? Pour ne parler que de LoRa les atouts sont nombreux : les coûts d'installation et d'exploitation sont faibles, la couche physique du réseau est efficace, ce qui reassure une bonne réception du message même sur de longues portées, qui peuvent aller jusqu'à 18km, et peut-être même jusqu'à plus de 30 km sur des terrains très favorables. D'ailleurs on voit apparaître de plus en plus d'applications dans de nombreux domaines (smart agriculture, élevage, logistique, contrôle industriel) qui misent sur les technologies LPWA, LoRa en tête. Mais il ne faut pas oublier que ces réseaux bas débit et longue loftiness ne permettent pas de satisfaire tous les besoins applicatifs, loin de là ! Ils ne répondent pas en effet aux contraintes telles que le transport de grandes quantités de données, la maîtrise des latences dans l’échange des données ou encore l’interconnexion avec des équipements locaux. L'équipe-projet Fun s'intéresse aussi à de nouvelles technologies comme le LiFi que certains, comme le prospectiviste Bernard Marr désignent comme un moyen viable pour permettre la progression de l'IoT et du big data. Que peut-on en dire aujourd'hui ? Le LiFi (Light Fidelity) ou VLC (Visible Light Communication) permet de transmettre des informations à l’aide de la partie visible du spectre électromagnétique, contrairement au WiFi qui fonctionne avec la partie radio de ce même spectre. Une chercheuse de Fun, Valeria Loscri, s'intéresse effectivement à ce sujet. Pour l'heure il faut bien reconnaître que ces technologies sont encore très chères, très fermées et avec des champs applicatifs pour le moins restreints, d’où la recherche menée. Mais elles ouvrent néanmoins des perspectives intéressantes dans des zones où le recours aux ondes radio est impossible.   Crédits photo© Inria / Photo P. Caron Mots-clé : #le saviez-vous / #habitat & urbanisme / #informatique / #culture numérique Dominique Fidel - Citizen Press Plus d’informations sur le sujet ? Journée de la femme, connectée et... Rencontre avec les créateurs de... Théâtre : est-ce que le numérique... Les derniers wares Tout comprendre sur la blockchain Lire Des campagnes toujours plus connectées Lire Thématiques threshing liaison culture & loisirs économie & commerce éducation environnement habitat & urbanisme industries informatique santé transport vie citoyenne Contenus ArticlesDossiersProposer un sujet Ils en parlent... La Fonderie La Fonderie, agence numérique d’Île-de-France. Futurapolis [Le Point] Futurapolis rend compte des innovations dans les grands domaines de la vie quotidienne. Suivez-nous sur : FacebookTwitterPinterestYouTubeFlux RSS Propulsé par Liens utiles Qui sommes-nousPlan du siteContactGlossaireCrédits et mentions légalesEspace presse